Nombre de messages : 2071 Age : 58 Date d'inscription : 30/05/2007
Sujet: Re: Topic NF Mar 23 Juil 2019, 08:10
Snowblind a écrit:
J'ai été bannie !
Je t'ai rétablie dans tes droits.
Killsark Iron Man
Nombre de messages : 24871 Age : 56 Localisation : Nice Date d'inscription : 19/01/2009
Sujet: Re: Topic NF Mar 23 Juil 2019, 08:39
Phil Admin
Nombre de messages : 107773 Age : 61 Localisation : 9 cube Date d'inscription : 30/05/2007
Sujet: Re: Topic NF Mar 23 Juil 2019, 09:42
Snowblind Sabbath Bloody Sabbath
Nombre de messages : 2520 Age : 33 Localisation : Donjon de Naheulbeuk Date d'inscription : 14/09/2009
Sujet: Re: Topic NF Mar 23 Juil 2019, 13:06
Chris a écrit:
Snowblind a écrit:
J'ai été bannie !
Je t'ai rétablie dans tes droits.
Merci mon bon Maître !
Phil Admin
Nombre de messages : 107773 Age : 61 Localisation : 9 cube Date d'inscription : 30/05/2007
Sujet: Re: Topic NF Jeu 25 Juil 2019, 11:34
Message de la carpette aveyronnaise à mon égard :
"As j’ai discuté avec kool Pour offense grave répété manque de savoir vivre et odeur porcine Tu es banni jusqu’à la fin août...."
Eh bien, mon cher Tangmo, tu vas nous dire "au revoir" pour quelques jours :
Killsark Iron Man
Nombre de messages : 24871 Age : 56 Localisation : Nice Date d'inscription : 19/01/2009
Sujet: Re: Topic NF Jeu 25 Juil 2019, 12:10
Snowblind Sabbath Bloody Sabbath
Nombre de messages : 2520 Age : 33 Localisation : Donjon de Naheulbeuk Date d'inscription : 14/09/2009
Sujet: Re: Topic NF Ven 26 Juil 2019, 06:06
Maître Chriiiis, je demande réhabilitation pour mes copains et moi-même ! Nous avons été bannis de manière injuste et infondée !
Phil Admin
Nombre de messages : 107773 Age : 61 Localisation : 9 cube Date d'inscription : 30/05/2007
Sujet: Re: Topic NF Ven 26 Juil 2019, 07:27
Snowblind Sabbath Bloody Sabbath
Nombre de messages : 2520 Age : 33 Localisation : Donjon de Naheulbeuk Date d'inscription : 14/09/2009
Sujet: Re: Topic NF Ven 26 Juil 2019, 07:34
Killsark Iron Man
Nombre de messages : 24871 Age : 56 Localisation : Nice Date d'inscription : 19/01/2009
Sujet: Re: Topic NF Ven 26 Juil 2019, 07:50
La Traviata bonjovienne a encore fait un caca nerveux
Snowblind Sabbath Bloody Sabbath
Nombre de messages : 2520 Age : 33 Localisation : Donjon de Naheulbeuk Date d'inscription : 14/09/2009
Sujet: Re: Topic NF Ven 26 Juil 2019, 08:36
Ouais, ça a dû être même assez fort !
Phil Admin
Nombre de messages : 107773 Age : 61 Localisation : 9 cube Date d'inscription : 30/05/2007
Sujet: Re: Topic NF Ven 26 Juil 2019, 09:02
Dès lors que l'on aborde le sujet BJ, le Kool prend la moule euh.......la mouche...
Killsark Iron Man
Nombre de messages : 24871 Age : 56 Localisation : Nice Date d'inscription : 19/01/2009
Sujet: Re: Topic NF Ven 26 Juil 2019, 09:05
Une vraie chochotte québecoïde
Snowblind Sabbath Bloody Sabbath
Nombre de messages : 2520 Age : 33 Localisation : Donjon de Naheulbeuk Date d'inscription : 14/09/2009
Sujet: Re: Topic NF Ven 26 Juil 2019, 09:13
Catoganée !
Phil Admin
Nombre de messages : 107773 Age : 61 Localisation : 9 cube Date d'inscription : 30/05/2007
Sujet: Re: Topic NF Ven 26 Juil 2019, 09:16
Malodorante...
Killsark Iron Man
Nombre de messages : 24871 Age : 56 Localisation : Nice Date d'inscription : 19/01/2009
Sujet: Re: Topic NF Ven 26 Juil 2019, 09:27
J' en connais un qui a les oreilles qui sifflent
Phil Admin
Nombre de messages : 107773 Age : 61 Localisation : 9 cube Date d'inscription : 30/05/2007
Sujet: Re: Topic NF Ven 26 Juil 2019, 09:58
Snowblind Sabbath Bloody Sabbath
Nombre de messages : 2520 Age : 33 Localisation : Donjon de Naheulbeuk Date d'inscription : 14/09/2009
Sujet: Re: Topic NF Ven 26 Juil 2019, 10:14
Invité Invité
Sujet: Re: Topic NF Ven 26 Juil 2019, 11:17
Daniel, au bout du rouleau, rate son suicide. Dès lors il sera amené à vivre des situations qui le conduiront à découvrir... Mais que va-t-il découvrir ? Des vies parallèles ? La part de l'imaginaire dans le réel ? La part du réel dans l'imaginaire ? Et si toute notre vie n'était qu'imagination... ou un dessin, fruit de nos choix, tracé sur un rouleau ?... C'est à en devenir fou...
Chris Sabbath Bloody Sabbath
Nombre de messages : 2071 Age : 58 Date d'inscription : 30/05/2007
Sujet: Re: Topic NF Ven 26 Juil 2019, 11:25
Kool vient de vous réactiver.
Quant à moi, j'en ai profité pour virer Tangmo qui a renouvelé ses attaques contre moi dans la section à Nono.
Phil Admin
Nombre de messages : 107773 Age : 61 Localisation : 9 cube Date d'inscription : 30/05/2007
Sujet: Re: Topic NF Ven 26 Juil 2019, 11:33
Bravoooooooooo !!!!!!!!!!!!!
Invité Invité
Sujet: Re: Topic NF Ven 26 Juil 2019, 11:36
Chris a écrit:
Kool vient de vous réactiver.
Quant à moi, j'en ai profité pour virer Tangmo qui a renouvelé ses attaques contre moi dans la section à Nono.
Tangmo C’est lui qui m’ Dit de poster sur ce forum
Killsark Iron Man
Nombre de messages : 24871 Age : 56 Localisation : Nice Date d'inscription : 19/01/2009
Sujet: Re: Topic NF Ven 26 Juil 2019, 11:47
Chris a écrit:
Kool vient de vous réactiver.
Quant à moi, j'en ai profité pour virer Tangmo qui a renouvelé ses attaques contre moi dans la section à Nono.
Félicitations
Snowblind Sabbath Bloody Sabbath
Nombre de messages : 2520 Age : 33 Localisation : Donjon de Naheulbeuk Date d'inscription : 14/09/2009
Sujet: Re: Topic NF Ven 26 Juil 2019, 12:08
Chris a écrit:
Kool vient de vous réactiver.
Quant à moi, j'en ai profité pour virer Tangmo qui a renouvelé ses attaques contre moi dans la section à Nono.
C'est ce qui s'appelle agir, mon bon Maître !
Invité Invité
Sujet: Re: Topic NF Ven 26 Juil 2019, 18:37
"De toute façon, je n’ai jamais de chance", "Comme d’habitude, ils sont sortis sans moi", "J’ai encore mal au genou et je vois bien que ça ne va pas aller en s’arrangeant", "Il a eu une promotion parce que c’est le chouchou du patron"… Avouez-le, vous en connaissez sûrement des Calimero. Peut-être même vous est-il arrivé, à vous aussi, de vous plaindre un peu trop, non ? Calimero c’est ce petit poussin noir qui se fendait toujours d’un "C’est vraiment trop injuste", héros d’un dessin animé apparu sur nos écrans dans les années 1970… et toujours d’actualité.
Se plaindre tout le temps : une tendance très moderne Le docteur en psychologie et psychanalyste, Saverio Tomasella, vient de publier un livre sur le sujet (Le syndrome de Calimero, chez Albin Michel). "Dans mon cabinet, dans la rue ou bien encore dans les médias, j’ai l’impression que l’on se plaint plus qu’avant. Il y a une forte pression économique, des problèmes de logements, des retraites faibles, des burn-out professionnels… Nous les psys, nous avons encouragé les patients à exprimer leurs tracas. Les gens se confient plus aujourd’hui qu’il y a trente ans car c’était alors mal perçu. On gardait plus les choses pour soi", constate Saverio Tomasella.
En évoquant ses malheurs, on se déleste d’un poids et l’on évite de développer des maladies psychosomatiques. Lorsque l’on se plaint ponctuellement d’une injustice, d’une douleur ou d’un événement qui nous a déplu, les effets sont bénéfiques. Et il faut bien le reconnaître, cela nous arrive à tous. Le problème, c’est lorsque ces plaintes se font lancinantes, sont si répétitives qu’elles en deviennent une manière d’être.
Le syndrome de Calimero : des origines diverses Selon le Dr en psychologie, la tendance à se plaindre, toucherait aussi bien les hommes que les femmes, et pourrait venir de divers facteurs. "Il peut s’agir de prédispositions familiales. On a entendu ses parents se plaindre énormément suite à un événement qui a affecté durablement la famille : un héritage difficile, une catastrophe naturelle, un chômage persistant… On reproduit ce qu’on a entendu plus jeune. Cela peut être aussi pour attirer l’attention sur soi. Ou bien encore une manière de cacher un mal-être plus profond. Les plaintifs dissimulent ainsi des problèmes conjugaux, d’argent, de santé, de sexualité… en parlant d’autre chose, par pudeur", explique Saverio Tomasella.
L’expert distingue deux familles de Calimero. Un premier groupe axé sur la plainte qui va formuler tout ce qui le mine. Un second groupe sensible à l’injustice, qu’elle le concerne directement ou pas. Il arrive que ceux du second groupe rejoignent ceux du premier. "Ils ont un côté chevalier blanc. Ils sont parfois issus de familles qui s’engagent contre des injustices ou ont une personne de leur famille qui a été victime d’injustice. Ou bien c’est juste leur personnalité", poursuit le psychologue.
Gare aux injustices infondées Toutefois, les injustices ressenties ne sont pas forcément réelles. Séverine est commerciale dans un grand groupe. Elle se souvient : "J’ai très mal vécu le fait que l’on engage une personne de l’extérieur pour le poste de manager que je visais. Je m’étais démenée pour l’obtenir. Je ne comptais pas mes heures. J’avais de bons résultats. J’ai eu une petite prime mais pas d’évolution de poste. On m’a préféré une personne qui avait déjà de l’expérience en management. J’ai été très déçue de cette injustice". Séverine regrette que ses efforts n’aient pas été suffisamment récompensés à son goût, mais reconnaît que son nouveau responsable avait une expérience supplémentaire.
"Une part des plaintes est liée à l’insatisfaction. Parfois, il y a vraiment une injustice mais ce n’est pas toujours le cas. A force de se plaindre d’injustices pas toujours réelles, Calimero perd en crédibilité", prévient Saverio Tomasella.
Plaintes à répétition : un entourage éprouvé Lorsque les plaintes sont fréquentes, la personne qui se plaint sans cesse envisage sa vie de manière négative. Une situation difficile puisque, bien souvent, selon Saverio Tomasella, elle ne s’aperçoit pas de son attitude, c’est inconscient. Si l’entourage se montre à l’écoute au début et essaye de sortir la personne de son mal-être, il peut aussi s’essouffler. "L’une de mes bonnes copines avait tendance à voir le verre à moitié vide. Pour mon anniversaire, j’avais prévu un dîner au restaurant avec des amis de divers horizons. Je l’ai invitée pour lui changer les idées. Elle a passé la soirée à se plaindre : du serveur, de son copain qui venait de la quitter, de son nouveau travail qui ne lui plaisait pas, de ses collègues désagréables, de son week-end raté… Mes autres amis, qui la rencontraient pour la première fois, ont vite été blasés et ma soirée… gâchée. Depuis nos rapports sont devenus plus distants", se souvient Géraldine. "Le Calimero évoque, en effet, tout le temps ce qui va mal pour lui. L’entourage finit par se lasser et le délaisser. Si bien que Calimero a, cette fois, une bonne raison de se plaindre que les autres le fuient. C’est un cercle vicieux", confie Saverio Tomasella. Alors, les plaintifs sont-ils condamnés à finir seuls et déprimés ? Pas forcément !
En finir avec le syndrome de Calimero Des solutions existent pour sortir de cette spirale infernale. Mais cela prend du temps. Le psychologue envisage le changement en trois étapes.
1) Accepter de se voir tel que l’on est : Pas évident d’admettre que l’on se plaint souvent, que l’on voit des injustices partout. Filmez un moment la personne. Seul à seul, montrez-lui sans méchanceté comment elle est. Dites-lui : "Si quelqu’un d’autre que toi faisait ça, tu dirais quoi ?". Faites-le avec délicatesse, sans reproche.
2) Chercher l’origine du problème : Déterminez où et comment cela a commencé. Suite à quoi la personne a eu tendance à se plaindre : après un traumatisme, un souci de santé, un déménagement, une grosse fatigue ? Identifier l’origine permet de la reconnaître et résoudre le véritable problème, en se faisant aider d’un professionnel si besoin.
3) Passer à autre chose : La plainte est une action. Remplacez-la par une autre. Ecrivez dans un cahier ou sur des papiers, à mettre dans une "boîte à colère", tout ce qui ne va pas. C’est une manière de mettre à distance les problèmes. A chaque fois que vous sentez l’envie de vous plaindre, remplacez-la par une activité plaisante : coudre, tricoter, cuisiner, marcher, jardinier, danser, méditer, chanter…
Bien sûr, c’est important de continuer à dire ce qui ne va pas, mais en se confiant à un professionnel lors d’une thérapie par exemple. "La clé, c’est de passer de la plainte à une vraie demande concrète", conseille Saverio Tomasella. Ainsi, au lieu de se plaindre que l’on n’a pas eu le poste souhaité, on peut exprimer son envie de progresser au sein de l’entreprise. Au lieu de déplorer que la maison soit en désordre, on demande à chacun de ranger quelque chose. Quant au sentiment d’injustice face à la misère par exemple, là encore privilégiez l’action en étant bénévole dans une association.
En changeant son regard sur la vie, sur lui-même, en formulant autrement ce qui l’ennuie, Calimero devrait trouver que la vie n’est plus… "trop injuste" ! Pourquoi la plainte n’est-elle plus trendy aujourd’hui? «Ce durcissement est peut-être lié à la Première Guerre mondiale, répond l’auteur. Aux idéaux faussement virils des «hommes-machines» du taylorisme, aux différents fascismes et nombreuses dictatures ou simplement à la déshumanisation du travail et des liens sociaux provoquée par la mondialisation des marchés.» En d’autres termes, les Calimero pleurent les larmes du monde contemporain qui a perdu le sens de l’humain.
Mini-contrariétés, gros soupirs Oui, mais bon, pensez-vous. Il s’agit là de nobles douleurs. Les Calimero de votre entourage geignent à propos du courrier livré trop tard, du voisin qui met sa musique trop fort, des voitures qui n’avancent pas assez vite, du collègue qui téléphone pour tout le bureau, du plat qui est trop salé ou trop chaud, etc. Leur irritation plafonne à très basse altitude. C’est vrai, reconnaît Saverio Tomasella, mais, peu importe. C’est l’action de la lamentation qui fait office de soupape pour l’humanité blessée et non l’objet invoqué.
Surtout, sur un plan clinique, poursuit le psychologue, ce vaste lamentando s’origine dans une injustice réelle ou un sentiment d’injustice vécus par le sujet, des blessures d’ego qui ont ravagé sa confiance. Elles sont souvent refoulées et doivent être débusquées pour être pansées. La parole peut libérer. Mais aussi l’expression artistique, les voyages ou des projets personnels, expose le médecin, évoquant à titre d’exemples des patients qu’il a soulagés.
Masha, Ulysse et l’injustice Masha, par exemple, était l’aînée d’une famille de trois enfants. Sa petite sœur, la benjamine, était chouchoutée par tous et son frère était le préféré de la mère en raison d’une malformation à la naissance. «Un jour, raconte Masha, mon frère et ma sœur ont voulu un chien en assurant qu’ils s’en occuperaient. J’ai dit non, car je savais que ce ne serait pas le cas. Quand le chiot est arrivé, alors que j’avais beaucoup plus de travail scolaire à faire, mes parents m’ont imposé cette corvée tandis que les petits faisaient la grasse matinée.» Ici, observe le psychologue, l’injustice est d’autant plus forte que la jeune fille avait exprimé son désaccord. Le cas n’est pas si grave, et pourtant Masha a conservé un profond sentiment d’injustice.
Pour Ulysse, la facture est plus lourde. Ce patient a grandi dans une cité où il a vu de nombreuses bagarres très violentes au couteau et côtoyé un voisin alcoolique qui terrorisait sa famille lorsqu’il avait bu. Adulte, Ulysse a développé un sentiment d’insécurité et des problèmes de santé qui l’ont rendu maussade. Jamais, avant les consultations, il n’a fait le lien entre sa déprime et son enfance chahutée.
Parfois, le mur est trop épais Le message est clair: si quelqu’un se et nous pourrit la vie avec des plaintes aussi futiles que perpétuelles, il faut l’envoyer faire la lumière chez un psy. Mais avant, on peut déjà l’écouter, l’aider à relativiser ses déboires et établir une hiérarchie entre ses maux. Chez le Calimero, la confusion et l’émotion prennent souvent le pas sur la raison.
Parfois, le mur construit pour survivre est trop épais. Ou la litanie relève du choix de vie. César avoue: «J’aime aller mal. Je sens une puissante jouissance face à la douleur et à la peur. Je regarde des vidéos d’accidents. Cela renforce ma croyance que la vie est cruelle.» A ce niveau de pessimisme et de nihilisme, Tomasella parle de «fécalisation», ou comment ce patient est rivé à une attitude destructrice et dégradante.
Macron, l’anti-Calimero Car l’autre risque des Calimero est de se déresponsabiliser et d’attendre le Messie. Soit un sauveur qui les comprendra et réparera l’injure faite au début de leur vie. Dangereux, car, prévient Tomasella, les sauveurs n’existent pas. Ou alors, ils sont une plaie, un poids… Le mieux est d’aller parler de ce qui accable et de se libérer.
Sinon, les censeurs tels que l’écrivain André Gide risquent de rugir: «La préoccupation de soi-même […] marque une absence de charité qui me devient toujours plus dégoûtante. Chacun de ces jeunes littérateurs qui s’écoute souffrir ou d’inquiétude ou d’ennui guérirait instantanément s’il cherchait à guérir ou soulager autour de lui des souffrances autrement plus réelles. Nous, fortunés, n’avons pas droit à la plainte», écrit l’auteur français dans son Journal, en 1928. Lorsque l’on apprend qu’André Gide est un des maîtres à penser d’Emmanuel Macron, on comprend que le nouveau président soit tout sauf un Calimero