Topic Ciné

Phil a écrit:

The Revenant que je suis allé voir ce matin, j'ai bien aimé et ce, malgré ses 2h36 de durée. DiCaprio y accomplit une bien belle prestation dans la peau de ce trappeur à qui il arrive le pire des scénarii. On tue sa meuf, on tue son rejeton, il se fait bouffer par une ourse, il est passé pour mort, il crève la dalle, il tombe dans un précipice pour atterrir dans un sapin et chuter dans la neige (merde le cheval qui l'avait sauvé, est mort et pas lui), il se fait poursuivre par les "Ara Kiris" (j'ai failli me flinguer à ce moment-là du film) pardon les "Ari Karas". Y a quand même mieux comme conditions pour visiter le Canada en plein hiver....
Plaisanteries mises à part, et ce, malgré quelques longueurs, un film quand même palpitant avec un Tom Hardy brillant en méchant pour l'occasion.  

Manquerait plus qu' il soit infecté par le virus zika

02/20 et bien payé !

Vu Au Nom de ma Fille avec Auteuil....

Même pas tourné, le film "Sivouplééé !" avec Christian Clavier est raillé sur Twitter

Alors que Christian Clavier va jouer dans la prochaine comédie de Philippe de Chauvron, où il est question de Roms, des twittos crient déjà aux clichés.
Jean-Frédéric TroncheJean-Frédéric TronchePublié le 19 avril 2016 à 20h56

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Dans "Le père noël est une ordure", on riait de Zadko Preskovitch, le voisin bulgare qui offrait doubitchou et kloug et se faisait gentiment rembarrer… Un film où jouait aussi un certain Christian Clavier qui, on vient de l’apprendre, va jouer dans une comédie sur les Roms. Signé Philippe de Chauvron, auteur de "Qu'est-ce qu'on a fait au bon dieu ?" (plus de 12 millions d'entrées en 2014) se lance dans un autre film intitulé "Sivouplééé !"

Le pitch, selon Allociné qui (avec Variety) détaille cette info : un intello de gauche fait la promotion de son nouveau roman où il appelle à accueillir dans leur foyer "les gens dans le besoin". Flairant les bons sentiments à peu de frais, un journaliste le défie de commencer par ouvrir sa propre porte.

Ce qui finit par arriver lorsqu’une famille de neuf Roms - dont le père de famille est campé par François Damiens - s’installe chez le couple (l’épouse de Clavier étant interprétée par Anne Dorval).
Clichés racistes ?

Mais alors que le tournage ne doit débuter qu’en juin et que Christian Clavier voit dans "Sivouplééé !" une histoire "formidable, avec des personnages mémorables et des rebonds comiques permanents qui plairont aux publics du monde entier", Twitter s’enflamme et fleure par avance les "clichés racistes" et le "goût douteux" du scénario.

Nouvel Obs 19/4/16

Tu aimes la tartiflette, jeune Skywalker ??

Hum, c'est délicieux, Maître Yoda....

The Last Face», l'indécent drame de Sean Penn
Par Elisabeth Franck-Dumas — 20 mai 2016 à 17:53
Indécente bluette entre humanitaires hollywoodiens, le foirage ethnocentré de Sean Penn laisse pantois.

La rumeur dit vrai : The Last Face est une daube de proportion cataclysmique. L’un des plus gros foirages qu’il nous ait été donné de voir depuis l’invention du ralenti. C’est aussi un film indécent, qui se sert des guerres au Liberia et au Soudan du Sud comme moteur aphrodisiaque d’une bluette où l’on regarde, médusés, se débattre les malheureux Javier Bardem et Charlize Theron comme des mouches dans une flaque de sang, alors qu’un énième mouvement de caméra tourbillonnant nous fait tendre le bras vers le sac à vomi. Peut-on imaginer pire moment pour passer ce navet qu’au dixième jour de projections ? Alors que le festivalier exsangue recherche une dernière décharge de beauté qui le ferait garder les yeux ouverts… Sans doute n’y aurait-il pas eu de bon moment non plus, tant le film de Sean Penn est un spectacle gênant. Mais à ce stade, il faudrait questionner les motifs qui ont présidé à sa programmation.
Gloubi-boulga indéfendable

Indécent, le film l’est dès les premières secondes. Il s’ouvre par des mots relatant, grosso merdo, que la seule manière pour un Occidental de se figurer la brutalité des guerres au Liberia et au Soudan est d’imaginer «l’amour impossible entre un homme…. et une femme…» Rires dans la salle. Et c’est parti pour 2 h 12 (2 h 12 !) de gloubi-boulga indéfendable mettant en scène deux médecins humanitaires qui tombent amoureux mais se déchirent parce que c’est dur alors qu’ils sillonnent la planète de Genève à la Sierra Léone comme si tout relevait d’une seule et même scène de guerre (aux contours circonscrits par l’imaginaire africain de l’Américain moyen), sans que jamais n’en soit donné le contexte historique ou politique, sans que jamais ne se fasse jour une complexité à la mesure des théâtres traversés. En dépit de l’incessant pipi d’eau tiède débité par la voix off (Charlize Theron, à son maximum botoxé de blonde qui marche dans la rue avec un air important), on n’est pas plus avancés sur les spécificités, les enjeux, les causes, les conséquences de tout ça à la fin du truc. Quelle connerie la guerre, quelle excitation ces combats, et envoyez les hélicos au-dessus du camp de réfugiés pour qu’on fasse encore un joli plan. Theron a beau citer l’une des sœurs Brontë, ses répliques sont un florilège d’atrocités. Exemple : «Ce n’est pas parce que tu as été à l’intérieur de moi que tu me connais.» Et, oui, la phrase veut bien dire ce que l’on s’imagine qu’elle veut dire. On touche le fond lorsque l’épidémie du sida en Afrique n’est évoquée que pour donner une petite frayeur aux braves médecins. L’ont-ils ? L’ont-ils pas ? Ouf, non, et puis tant pis pour les autres.
Conseiller humanitaire

L’on ne peut, plus généralement, se défaire de l’idée que The Last Face est un film incroyablement condescendant, pour ne pas dire raciste. Les Africains dont il ambitionne de documenter les souffrances n’apparaissent à l’écran que pour faire décor, saigner et s’entretuer, et si un sursaut de mauvaise conscience fait dire, dans les dernières minutes, au personnage de Theron qu’au moins un d’entre eux s’est un jour intéressé à la littérature (ce qui à l’échelle d’un continent fait peu), il est quand même dit ailleurs, et sans rire, qu’ils aiment «regarder des fourmis monter aux arbres». Ah bon, vous non plus ?

Ce serait la dernière mode, à Hollywood, que d’avoir un conseiller humanitaire, un sbire servant à signaler aux célébrités les causes les plus dignes de leur intérêt, leur notoriété, et leur fortune. On ne sait si celui ou celle de Sean Penn était parti en lune de miel avec son consultant à la mise en scène le jour où il a décidé de cuisiner ce baba, mais sans doute que la tonne d’argent nécessaire à sa réalisation aurait mieux été employée autrement.
Elisabeth Franck-Dumas

Ce film s 'est fait dézinguer par tout le monde, mais comment ont-ils osé sélectionner cette daube??

Actuellement en tournage en Hongrie, la suite du classique de la science-fiction Blade Runner, réalisée par Denis Villeneuve, a été endeuillée le 25 août dernier par la mort d’un ouvrier de 28 ans. Comme l’a révélé The Hollywood Reporter, il est décédé alors qu’il démontait une partie du décor à Budapest. « L’ouvrier était sous une plate-forme sur laquelle le décor avait été construit, lorsque celle-ci s’est soudai­ne­ment effon­drée », détaille la société Origo Film Group dans un communiqué. Une enquête a été ouverte pour déterminer les causes exactes de l’accident mortel.

C 'est ballot, pauvre gars.
Pourquoi donner une suite à cette merveille qu' est "Blade runner" ???

Bien d'accord....

+1 c'est idiot.

Quelqu'un va voir Ben Hur ?

J'ai peur d'être déçu...

Phil a écrit:

J'ai peur d'être déçu...

Ha ! Après les goûts et les couleurs ! Hein !

Bah justement, je peux être agréablement surpris.

Je vais sans doute aller le voir après je pourrais plus pendant un bon moment !

Phil a écrit:

J'ai peur d'être déçu...

Arrête ton char

Killsark a écrit:

Phil a écrit:

J'ai peur d'être déçu...

Arrête ton char

de tout façon remake ou pas, ça pourra jamais égaler la version Française !

Ouest-France
La nouvelle vient de tomber. Le musée Louis de Funès n'ouvrira plus ses portes à partir du 1er novembre. Le conseil d'administration du musée vient d'en informer Françoise Haméon, conseillère départementale, vice présidente au tourisme, à la mer et au littoral.

"Attention : 2016 est une année charnière pour le musée, qui risque de fermer", est-il inscrit sur la page d'accueil du site du musée de Louis de Funès.

Appels à financement, pétitions.... Après des mois et des mois de tractations en tous genres pour tenter de sauver le musée Louis de Funès, créé en 2013, le couperet est tombé : l'association met la clef sous la porte, et ce, dès le 30 octobre prochain, date de la fermeture hivernale.

Pourquoi ? Le Musée de Louis, entièrement consacré au comédien Louis de Funès, loue le château de Clermont, au Cellier, en Loire-Atlantique, où l’acteur comique avait une résidence. Menacée par la vente du bâtiment, l’association n’avait pas d’autre solution que d’acheter le bien.

En vain.

Merci à Funkalx !!!!!