Topic Ciné

Ce soir , on prévoit 10000 .

Eh bien bof bof . Tout est aseptisé dans ce film : les acteurs, l' intrigue ..........: : :

J'ai également été voir 10.000, pour ma part j'ai bien aimé, lescénario n'est pas des plus original mais tout est misé sur l'époque hors du commun dans un film grand publique. Ce film ressemble énormément à Apocalypto de Mel Gibson (que je recommande grandement). Un village pillé et des habitants capturé dans 10.000 pour esclavage dans Apocalypto pour sacrifice.

Apocalypto, j'ai vu...!!! Excellent!!

Y en a t-il qui auraient vu le Nouveau Protocole avec Clovis Cornillac qui , manifestement , a connu bien des péripéties avant d' être distribué dans de bonnes conditions ?

La Palme d'Or vient d'être attribuée à un film français Entre les murs qui relate le quotidien d' une classe de 4ème dans le 20 ème arrondissement .

Et je trouve cela magnifique, dans cette industrie ou rentabilité passe avant bon scénario, ce film fait figure d'Ovni.
J'ai hate de le voir, cela me rappelle le documentaire sorti il y a quelques années dans une classe de primaire je crois...
Comme quoi les enseignants nous inspirent !

LYNYRD a écrit:

J'ai hate de le voir, cela me rappelle le documentaire sorti il y a quelques années dans une classe de primaire je crois...
Comme quoi les enseignants nous inspirent !

"Etre et Avoir" ? Un vrai ptit bijou celui-là.
Je suis curieux de voir ce que ça donne "Entre les Murs".

Sortie le 13 octobre 2008 , me semble t-il .

merci pour l'info !! :bien!:

Dans « Sagan », de Diane Kurys, la comédienne Sylvie Testud incarne de façon stupéfiante l'auteur de « Bonjour tristesse ». Une nouvelle performance d'actrice dans une biographie, après Marion Cotillard dans « la Môme ».

«REPETE après moi ce mot nouveau », a coutume de dire la maîtresse à l'enfant. Depuis peu de temps, le cinéma français joue à se répéter un mot nouveau pour lui : « biopic ». Si l'on associe pic à « picture » (image), ce néologisme anglo-saxon peut se traduire par « portrait biographique ».


Jusqu'à présent, la France ne s'était guère risquée à l'exercice, si l'on excepte « Edith et Marcel » (1983), de Claude Lelouch, pionnier en la matière. Mais c'était du « biopic » plutôt romancé.

La vie ultraromanesque de la romancière

La sortie aujourd'hui sur près de 240 écrans de « Sagan », le nouveau film de Diane Kurys (« Diabolo Menthe », « La Baule-les-Pins »), consacré à la vie ultraromanesque de la romancière Françoise Sagan, s'inscrit dans une autre démarche, plus radicale : raconter au plus près la vie d'une star.

Parce qu'elle surgit dans la foulée de « la Môme », le film d'Olivier Dahan qui a valu un Oscar à Marion Cotillard, cette nouvelle production d'Europa Corp, la firme de Luc Besson, cristallise cette tendance du cinéma français à s'emparer d'un secteur qui semblait jusqu'alors une spécialité d'outre-Atlantique (« Ray », de Taylor Hackford, avec Jamie Foxx dans le rôle de Ray Charles, « Truman Capote », de Bennett Miller avec Philip Seymour Hoffman, sans oublier « Che », de Steven Soderbergh, pour lequel l'acteur Benicio Del Toro a obtenu cette année à Cannes un prix d'interprétation).

Une perle

Car « Sagan », qui existe aussi en une version téléfilm de quatre heures réalisée pour France 2, n'est qu'une perle dans le chapelet des biopics qui s'annoncent : suivront en effet « Mesrine », de Jean-François Richet, en deux volets (octobre et mars) avec Vincent Cassel dans le rôle de « l'Ennemi public », puis Coluche, d'Antoine de Caunes, avec François-Xavier Demaison ; enfin, le dessinateur et scénariste Joann Sfar quittera en septembre l'univers de la bande dessinée pour tourner un « Gainsbourg » avec le comédien Eric Elmosnino dans le rôle du chanteur disparu en 1991.

La particularité du biopic, on le voit, est de traiter d'un personnage assez proche dans les mémoires. Un jour, nous disait hier Diane Kurys en plaisantant à demi, « on tournera des biopics sur des personnes toujours vivantes... » Les acteurs qui s'y collent, eux, y trouvent un challenge nouveau. Avec le biopic, leur carrière connaît un pic.


La comédienne Sylvie Testud a adoré incarner Françoise Sagan : « C'est quelqu'un qui n'a pas eu peur de vivre ! » (DR.)

"Bienvenue chez les Ch'tis" bat tous les records



Dany Boon et sa femme Yaelle avant la première du film à côté des photos des acteurs Kad Merad... et Dany Boon - AFP - François Lo Presti
"La Grande Vadrouille" a perdu son titre de plus gros succès au box-office pour un film français depuis 1945


Record absolu pour l'histoire d'un postier muté du Sud de la France dans le Nord.

A l'affiche de 906 salles, la comédie de Dany Boon, "Bienvenue chez les Ch'tis", dans laquelle jouent notamment Kad Merad et Dany Boon, a été vue par 17.405.832 spectateurs depuis sa sortie en salle le 27 février, selon Pathé, producteur et distributeur du film lundi.

Le film de Gérard Oury "La Grande Vadrouille", sorti en 1966, était jusqu'ici, avec 17.270.676 tickets vendus, le film en langue française le plus vu dans l'Hexagone depuis 1945, année où le Centre national de la cinématographie a commencé à compiler ces chiffres.

"C'est formidable. Et maintenant en route pour aller couler le bateau !", s'est exclamé lundi Henri Demoulin, responsable de la distribution chez Pathé, allusion au film américain "Titanic", sorti en 1998 et qui reste le plus gros succès en France toutes langues confondues.

Des spécialistes avaient annoncé au bout de trois semaines d'exploitation qu'il pourrait atteindre les 15, voire les 17 millions d'entrées. Comment peut-on faire de telles estimations ? "Les spectateurs sont interrogés à la sortie du film. Quand plus de 65 % d'entre eux sont emballés, le film entre dans la catégorie 'coup de foudre'. Ce taux est de 67 % pour 'Bienvenue chez les Ch'tis'. Et globalement, 97 % des gens ont aimé, ce qui est exceptionnel", expliquait (dans "Le Monde") Serge Siritzky, directeur de la revue "Ecran Total", revue des professionnels du cinéma.

A noter que selon la même source, 32 % des spectateurs ont moins de 25 ans. D'une manière générale, "Les Ch'tis" se voient souvent en famille. De plus, il n'y a pas de disparité régionale: la comédie marche aussi bien dans le Midi qu'en Bretagne et à Paris.

Une belle rentabilité
Autre fait exceptionnel: la comédie a été rentable dès sa sortie en salle pour un coût de 11 millions d'euros, jugé modeste par les professionnels. Si l'on multiplie le nombre d'entrées par le prix moyen du billet (5,95 euros), il a déjà rapporté quelque 75 millions d'euros !

L'affaire est donc très, très rentable pour le producteur et distributeur Pathé. A noter que le film n'a pas reçu de parrainage commercial.

Les recettes du succès
Dix ans après le triomphe de "Titanic" (20 millions d'entrée) de James Cameron, son succès est notamment dû au bouche-à-oreille, l'une des meilleures publicités qui soient. Mais aussi au fait que Dany Boom l'a projeté en avant-première dans 116 salles d'une soixante de villes. Il y a bien sûr aussi eu une campagne de pub. Laquelle aurait été moins coûteuse que celle du dernier "Astérix", croit savoir "Le Monde".

Un autre élément, et non des moindres, a contribué au succès: l'excellente idée de d'abord sortir "Les Ch'tis" dans le Nord-Pas-de-Calais. Il y aussi les ingrédients du film lui-même qui reprennent les clichés sur la région en les tournant en dérision, mais jamais de façon méchante: l'accent des gens du Nord, les paysages (notamment miniers), la physionomie des villes, la nourriture (le fameux fromage maroilles et sa puissante odeur)...

Conséquences inattendues
Le succès a quelques conséquences inattendues par le néophyte. Il
va ainsi se traduire par le versement de plus d'un million d'euros au Centre régional de ressources audiovisuelles (CRRAV) du Nord-Pas-de-Calais. Lequel favorise la production cinématographique dans la région.

En 2007, les recettes générées par les films soutenus par le CRRAV avaient atteint quelque 100.000 euros, réinvestis essentiellement dans l'écriture et le développement de documentaires et d'oeuvres de fiction, a précisé le conseil régional. Selon le CRRAV, les nouvelles recettes devraient "permettre de renforcer [son] soutien à la fiction et au documentaire, mais aussi d'investir dans des secteurs comme l'animation ou les nouveaux formats pour Internet et téléphone portable, où [ils étaient] peu présents jusqu'ici".

Une polémique était née après le vote d'une subvention de 600.000 euros par le conseil régional pour le lancement commercial du film et des actions de communication. L'assemblée régionale avait en effet acquis des droits d'utilisation de la comédie. De nombreux Nordistes s'étaient dit "scandalisés" par cette aide. Celle-ci avait été votée par le PS avec le FN, mais rejetée notamment par le PCF qui la jugeait "démesurée".

Une suite ?
"Les Ch'tis" sont loin d'avoir terminé leur carrière commercial. Côté produits dérivés, un DVD est annoncé pour octobre prochain. Selon "Le Monde", le film intéresse les Américains (pour un "remake") et les Allemands (qui transposeraient le clivage Nord-Sud, encore plus fort Outre-Rhin qu'en France, en le doublant). Et surtout, on annonce une éventuelle suite, ici, dans l'Hexagone. Alors, à quand "Les Ch'tis 2", voire 3, 4... ?

marrant.; je croyais que ce film aux dires de certains aait déjà dépassé les 20 millions d'entrées..

Disparition - Le cinéaste égyptien Youssef Chahine est mort

Crédit Photo : www.abacapress.com
Le cinéast égyptien Youssef Chahine (décembre 2004)
egypte
La plus ancienne Bible bientôt sur Internet
Un navire américain ouvre le feu: un mort


Le cinéaste égyptien Youssef Chahine est mort
Le plus célèbre des cinéastes égyptiens est décédé dimanche à l'âge de 82 ans.
Né en 1926 à Alexandrie, il avait obtenu en 1997 le Prix du cinquantième anniversaire du Festival de Cannes pour l'ensemble de son oeuvre.
- le 27/07/2008 - 12h03


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Il était le plus célèbre des cinéastes égyptiens. Youssef Chahine est décédé dimanche au Caire, à l'âge de 82 ans. A la suite d'une hémorragie cérébrale survenue en Egypte et qui l'a plongé dans le coma le 16 juin, il avait été hospitalisé à Paris pendant un mois. Il avait ensuite regagné l'Egypte mi-juillet dans un état stationnaire. Les funérailles auront lieu lundi au Caire. Le cinéaste sera ensuite enterré dans le caveau familial à Alexandrie, la grande ville du nord où il est né, a précisé l'agence officielle Mena.

En soixante ans de carrière, Youssef Chahine a produit une oeuvre aussi intimiste que politiquement engagée. Né le 25 janvier 1926, il a pris l'Egypte comme toile de fond sur laquelle il n'a cessé, en une quarantaine de films, d'imprimer sa mémoire et ses idées de gauche et anti-islamistes. Plus célébré à l'étranger qu'il ne l'était dans son pays, Youssef Chahine avait obtenu en 1997 le prix du cinquantième anniversaire du festival de Cannes pour l'ensemble de son oeuvre, après un Ours d'argent au festival de Berlin.

Cinéma engagé, films sur sa jeunesse

"Il voulait être acteur, mais s'est aperçu qu'il bégayait un peu et n'était pas si beau, alors il s'est dit: je vais jouer à travers d'autres", a un jour raconté Omar Charif, star mondiale découverte par Youssef Chahine. Pauvreté, combat ouvrier et lutte d'indépendance, il s'empare de tout le registre du cinéma engagé des années 50 et 60 pour faire passer des messages politiques dans le genre du mélodrame néo-réaliste. Quelques titres se distinguent, comme Eaux noires (1956), Gare centrale (1958), et La Terre (1969), chef-d'oeuvre poétique et politique consacré au monde paysan.

Sans renoncer aux sagas politiques, Chahine se lance ensuite dans le roman filmé de sa jeunesse avec Alexandrie, pourquoi ? (1978, prix spécial du jury à Berlin l'année suivante), La mémoire (1982) et Alexandrie encore et toujours (1989), qui formeront sa trilogie autobiographique. Alors que l'islamisme se répand, Youssef Chahine s'insurge, lui qui connut dans son enfance une Egypte tolérante, multi-ethnique, où les chrétiens, comme il l'est, et aussi les juifs vivaient en harmonie avec les musulmans. L'émigré (1994) et Le destin (1997) lui valent la colère et la censure des intégristes égyptiens. Critique évidente du régime autocratique en Egypte, son dernier film, Le chaos, co-signé avec Khaled Youssef en 2007, ne remporta pas le succès qu'il escomptait en Egypte, ni à l'étranger.

Sarkozy salue un "défenseur du mélange des cultures"

Nicolas Sarkozy a rendu hommage dimanche au cinéaste égyptien, saluant un "fervent défenseur du mélange des cultures" et de la liberté d'expression. "Le septième art vient de perdre l'un de ses plus célèbres serviteurs", déclare le chef de l'Etat dans un communiqué. "Très attaché à son Egypte mais ouvert sur l'universel, réalisateur engagé (...) Youssef Chahine aura cherché, tout au long de sa vie, à travers l'image, à dénoncer la censure, le fanatisme et l'intégrisme", ajoute le président français.

Un film ayant pour thème la réincarnation d'Aleister Crowley devrait sortir . Tout un programme !!!!!!!

Guillaume Depardieu est décédé d'une pneumonie à l'âge de 37 ans . RIP .

Phil a écrit:

Guillaume Depardieu est décédé d'une pneumonie à l'âge de 37 ans . RIP .

J'ai cru un moment qu'il c'était suicidé... Son corps était très malade... RIP.

Les nouvelles ne sont pas réjouissantes pour Patrick Swayze. L'acteur américain de 56ans qui souffre d'un cancer du pancréas est très pessimiste depuis qu'il a appris que la maladie s'était également attaquée au foie. Son état est très préoccupant. Selon son entourage, le héros de Dirty Dancing est de plus en plus faible et peine même à marcher.

L'acteur est à bout de force et a déjà prévenu sa famille et ses amis qu'il n'en avait plus pour longtemps. "Patrick a demandé à sa femme Lisa de téléphoner à son frère Donny qui vit à Los Angeles pour lui demander de se rendre au plus vite à Chicago" explique un témoin selon lequel Patrick Swayze aurait déjà fait ses adieux à ses proches. (CB)

bah merde j'aimais bien ce mec ,et en plus il aime les chevaux !!!!
c'est moche ,putain de saloperie de maladie de merde

Je le savais condamné... Saloperie de "crabe"...!!! Je me mets à le place de ses proches... :

très triste..

Patrick Swayze : des nouvelles rassurantes !
il y a 31 min

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Par la rédaction de Public. Lire la suite l'article
Ouf, on préfère ça ! L'acteur Patrick Swayze vient de monter au créneau pour mettre les points sur les « i ». En effet, contrairement à une rumeur qui circulait la semaine dernière, il n'est pas à l'agonie ! Choqué de lire dans la presse de tels propos, il a donc donné sa version des faits, en se confiant au célèbre magazine « People » : « Tout va plutôt bien, en dehors du fait que des tabloïds s'acharnent à répandre des mensonges sur moi et mes proches. Dernièrement, ils ont raconté que j'avais un pied dans la tombe et que j'avais dit adieu à ma famille, réunie, en larmes, autour de moi. Il est vrai, ajoute la star, que le cancer du pancréas est très agressif, et j'ai su, dès que j'ai été diagnostiqué, que ma vie était menacée. Mais c'est un combat, et, pour l'instant, le gagnant, c'est moi () Pour moi, ce genre de racontars a de quoi saper mon moral () Ça me met vraiment en colère, surtout que je suis dans une situation où l'espoir est la chose la plus précieuse qui soit. » Ainsi, la vérité est donc rétablie et nous espérons, très sincèrement, que, très prochainement, l'acteur et danseur de "Dirty Dancing", "Ghost" ou "Point Break" nous donnera d'autres nouvelles tout aussi bonnes et rassurantes. Courage !

Merci à Endogarde du FCH pour ce post .

Je viens de regarder le film La Chute qui relate les derniers jours du nazisme . Et force est d'avouer que l'interprétation qui en est donnée , s'avère être de toute beauté . Y en a t-il qui l'ont vu ?

Dimanche 24 Mai 2009 - 20h54
Festival de Cannes : le palmarès complet du 62ème festival de Cannes

Voici le Palmarès complet du 62ème festival de Cannes présidé par Isabelle Huppert :

- Palme d'or :Le Ruban Blanc de Michael Haneke

- Grand Prix : Un Prophète de Jacques Audiard

- Prix spécial exceptionnel : Alain Resnais

- Prix de la mise en scène : Brillante Mendoza pour Kinatay

- Prix du Jury : Fish Tank réalisé par Andrea Arnold et Thirst, ceci est mon sang… réalisé par Park Chan-Wook

- Prix d'interprétation masculine : Christoph Waltz dans Inglourious Basterds réalisé par Quentin Tarantino

- Prix d'interprétation féminine : Charlotte Gainsbourg dans Antichrist réalisé par Lars von Trier

- Prix du scénario : Mei Feng pour Nuits d’Ivresse printanière réalisé par Lou Ye

- Palme d'Or du court métrage : Arena réalisé par João Salaviza

- Caméra d'Or : Samson et Delilah réalisé par Warwick Thornton (présenté à Un Certain Regard)

On parle de copinage entre Huppert et Haneke pour l'attribution de la Palme.

ce festival ne veut plus rien dire, et Isabelle Huppert qui est, par ailleurs, une excellente actrice, est passée en mode "connasse à l' égo démesuré".
Tarantino a quitté le festival très fâché(il faut pourtant lui en faire...), à noter que la Huppert s' était fait dégager du tournage de "Inglorious basterds", son comportement odiaux ayant ulcéré toute l' équipe du film.