La culture Hard Rock

Après Nicolas Walzer, Alexis Momebelet, Fabien Hein ,c'est au tour de Nicolas Bénard d'y aller de son étude, qui m'a l'air ma foi fort intéressante. Son ouvrage vient de paraître aujourd'hui et est disponible dans toutes les bonnes crèmeries.

LA CULTURE HARD ROCK
Histoire, pratiques et imaginaires

Nicolas Bénard, chercheur associé au Centre d'histoire culturelle
des sociétés contemporaines, publie aux éditions Dilecta, LA CULTURE
HARD ROCK. Histoire, pratiques et imaginaires. Cet ouvrage est tiré de sa
thèse, soutenue en octobre 2007, sous la direction de Christian Delporte.

Le Hard Rock (ou Métal), apparu il y a trente ans en Grande-
Bretagne, réunit aujourd'hui plusieurs millions d'adeptes à travers le
monde, notamment en France. C'est l'un des courants musicaux majeurs
de ces dernières décennies, bien qu'il suscite la défiance de la plupart des
médias généralistes et d'un large public.

Tentant de bousculer certains préjugés, Nicolas Bénard trace dans ce
livre le portrait d'une culture dotée d'un imaginaire fort, et celui d'une
communauté constituée de multiples codes et de rites que partagent les
artistes et les fans.

Nicolas Bénard est docteur en histoire et journaliste. Spécialiste et amateur
de Hard Rock, il est actuellement chercheur - historien pour les services du
Premier ministre.

Autre bouquin a possédé "L'encyclopédie du Hard Rock des Seventies" il vient d'être reedité avec des pages en plus .

Tenez , pour ceux et celles qui aiment le genre , ne vous êtes jamais posés la question de savoir la raison pour laquelle le hard rock était perçu par ce que l'on pourrait considérer comme une sorte "d'élite musicale" (que j'exècre cette expression) comme une musique de dégénérés interprétée par des braillards buveurs de bière sans aucun talent ? Par ailleurs , il a fallu aussi que le PMRC (Parents Music Resource Center) s'y mette en déversant son fiel à sa création en 1985 arguant le fait selon lequel qu'écouter cette musique pourrait se révéler , pour certains adolescents , subversif. La preuve en est que certains d'entre eux se suicidèrent en écoutant la reprise de Spooky Tooth , Better By You , Better Than Me qu'avait effectuée Judas Priest sur Stained Class ainsi que Suicide Solution d'Ozzy Osbourne qui figure sur Blizzard Of Ozz. De tels drames n'allaient certainement pas redorer le blason de cette musique soi-dévastatrice et le pire dans tout cela résida dans le fait que certains de ses représentants affublés de tenues ridicules et inconscients de leurs dérives , allèrent même jusqu'à incendier des églises au fin fond de la Scandinavie.
Après comment justifier la bonne foi d'autres groupes qui ne pensaient qu'à jouer du bon vieux rock'n'roll comme AC/DC qui fut , lui aussi taxé de "groupe "sataniste" lorsqu' Highway To Hell sortit en 1979. "Quelle idée, Angus que tu te sois affublé de ces cornes à la con. Imagines-tu l'image néfaste que tu véhicules auprès de certaines âmes sensibles ? A priori, non puisque tu continues de les porter sur le titre en question et tu as fait de cet objet , un collector qui , aujourd'hui , clignote. Objet collector que la plupart de tes fans portent en tant que signe de reconnaissance."
Finalement , on a beau dire mais associer le commun des mortels à la musique qu'il écoute , surtout c'est du hard rock , à ce qu'il est , s'avère être bien restrictif surtout qu'en face , les arguments de ses détracteurs relèvent de la pauvreté la plus affligeante qui soit.

Ce que tous ces gens pensent de moi est bien le cadet de mes soucis

Phil a écrit:

Après Nicolas Walzer, Alexis Momebelet, Fabien Hein ,c'est au tour de Nicolas Bénard d'y aller de son étude, qui m'a l'air ma foi fort intéressante. Son ouvrage vient de paraître aujourd'hui et est disponible dans toutes les bonnes crèmeries.

LA CULTURE HARD ROCK
Histoire, pratiques et imaginaires

Nicolas Bénard, chercheur associé au Centre d'histoire culturelle
des sociétés contemporaines, publie aux éditions Dilecta, LA CULTURE
HARD ROCK. Histoire, pratiques et imaginaires. Cet ouvrage est tiré de sa
thèse, soutenue en octobre 2007, sous la direction de Christian Delporte.

Le Hard Rock (ou Métal), apparu il y a trente ans en Grande-
Bretagne, réunit aujourd'hui plusieurs millions d'adeptes à travers le
monde, notamment en France. C'est l'un des courants musicaux majeurs
de ces dernières décennies, bien qu'il suscite la défiance de la plupart des
médias généralistes et d'un large public.

Tentant de bousculer certains préjugés, Nicolas Bénard trace dans ce
livre le portrait d'une culture dotée d'un imaginaire fort, et celui d'une
communauté constituée de multiples codes et de rites que partagent les
artistes et les fans.

Nicolas Bénard est docteur en histoire et journaliste. Spécialiste et amateur
de Hard Rock, il est actuellement chercheur - historien pour les services du
Premier ministre.

J'ai lu ce livre, il m'a un peu déçu. D'abord par sa taille, il est très petit, ensuite par son contenu. Ce n'est qu'un survol du metal, rien de bien nouveau par rapport à d'autres livres sortis avant ou après.

Sinon j'ai trouvé un reportage réalisé l'été dernier suite au festival Heavy MTL à Montréal. Il traite du metal en général et de l'implantation du metal au Québec.

http://video.telequebec.tv/video/4504/le-quebec-carbure-au-heavy-metal

La vidéo n'est pas visible en France à priori.

The Fab a écrit:

La vidéo n'est pas visible en France à priori.

+1

hé hé...je l'ai déjà..et je l'ai lu depuis un sacré moment,tout ce que je peux vous dire;c'est que c'est un trés bon bouqin

Les spandex, ça existe toujours !!!

http://www.over-zone.com/framesetuk.htm

Phil a écrit:

Tenez , pour ceux et celles qui aiment le genre , ne vous êtes jamais posés la question de savoir la raison pour laquelle le hard rock était perçu par ce que l'on pourrait considérer comme une sorte "d'élite musicale" (que j'exècre cette expression) comme une musique de dégénérés interprétée par des braillards buveurs de bière sans aucun talent ? Par ailleurs , il a fallu aussi que le PMRC (Parents Music Resource Center) s'y mette en déversant son fiel à sa création en 1985 arguant le fait selon lequel qu'écouter cette musique pourrait se révéler , pour certains adolescents , subversif. La preuve en est que certains d'entre eux se suicidèrent en écoutant la reprise de Spooky Tooth , Better By You , Better Than Me qu'avait effectuée Judas Priest sur Stained Class ainsi que Suicide Solution d'Ozzy Osbourne qui figure sur Blizzard Of Ozz. De tels drames n'allaient certainement pas redorer le blason de cette musique soi-dévastatrice et le pire dans tout cela résida dans le fait que certains de ses représentants affublés de tenues ridicules et inconscients de leurs dérives , allèrent même jusqu'à incendier des églises au fin fond de la Scandinavie.
Après comment justifier la bonne foi d'autres groupes qui ne pensaient qu'à jouer du bon vieux rock'n'roll comme AC/DC qui fut , lui aussi taxé de "groupe "sataniste" lorsqu' Highway To Hell sortit en 1979. "Quelle idée, Angus que tu te sois affublé de ces cornes à la con. Imagines-tu l'image néfaste que tu véhicules auprès de certaines âmes sensibles ? A priori, non puisque tu continues de les porter sur le titre en question et tu as fait de cet objet , un collector qui , aujourd'hui , clignote. Objet collector que la plupart de tes fans portent en tant que signe de reconnaissance."
Finalement , on a beau dire mais associer le commun des mortels à la musique qu'il écoute , surtout c'est du hard rock , à ce qu'il est , s'avère être bien restrictif surtout qu'en face , les arguments de ses détracteurs relèvent de la pauvreté la plus affligeante qui soit.

Pas mal Phil. Chouette topic.

Mais que veux-tu dire avec "élite musicale"?

Le phénomène de diabolisation est loin d'être propre au hard rock: il est commun à toute forme de rejet d'une (contre-)culture par une doctrine soi-disant orthodoxe. De grands poètes romantiques ont écrit des oeuvres qui ont été prétexte à des suicides, à des marginalisations...

Perso, ce qui me pousse au suicide, c'est plutôt Jeanne Mas ou Helène Rolles... Comme quoi...

Ce que j'entendais par "élite", c'est cette espèce de caste qui, sous couvert de se faire le porte-parole du bon goût en matière de musique, à savoir l'écoute de musiques nobles telles que le jazz, le blues mais aussi la musique classique, n'hésite en aucune matière à jeter son discrédit sur le Hard Rock qu'elle assimile souvent à un ramassis de dégénérés, brûlant, comme ce fut le cas dans les années 80 aux Etats-Unis (un cas à part, certes), des vinyles d'AC/DC en place publique. On est bien évidemment dans l'excès.
Cette élite, ceci dit, tente malgré tout d'arrondir les angles lorsque l'on s'adresse à elle, en avançant l'argument à deux balles ("Ah oui, j'écoutais ça quand j'étais jeune !!!!") mais finit toujours par esquisser un petit sourire narquois qui en dit long sur leurs coupables pensées.
Sans doute, exagérai-je un peu, cher Endo mais ce soir, j'avais envie de m'amuser un peu.

Endogarde Pourpre a écrit:

Phil a écrit:

Tenez , pour ceux et celles qui aiment le genre , ne vous êtes jamais posés la question de savoir la raison pour laquelle le hard rock était perçu par ce que l'on pourrait considérer comme une sorte "d'élite musicale" (que j'exècre cette expression) comme une musique de dégénérés interprétée par des braillards buveurs de bière sans aucun talent ? Par ailleurs , il a fallu aussi que le PMRC (Parents Music Resource Center) s'y mette en déversant son fiel à sa création en 1985 arguant le fait selon lequel qu'écouter cette musique pourrait se révéler , pour certains adolescents , subversif. La preuve en est que certains d'entre eux se suicidèrent en écoutant la reprise de Spooky Tooth , Better By You , Better Than Me qu'avait effectuée Judas Priest sur Stained Class ainsi que Suicide Solution d'Ozzy Osbourne qui figure sur Blizzard Of Ozz. De tels drames n'allaient certainement pas redorer le blason de cette musique soi-dévastatrice et le pire dans tout cela résida dans le fait que certains de ses représentants affublés de tenues ridicules et inconscients de leurs dérives , allèrent même jusqu'à incendier des églises au fin fond de la Scandinavie.
Après comment justifier la bonne foi d'autres groupes qui ne pensaient qu'à jouer du bon vieux rock'n'roll comme AC/DC qui fut , lui aussi taxé de "groupe "sataniste" lorsqu' Highway To Hell sortit en 1979. "Quelle idée, Angus que tu te sois affublé de ces cornes à la con. Imagines-tu l'image néfaste que tu véhicules auprès de certaines âmes sensibles ? A priori, non puisque tu continues de les porter sur le titre en question et tu as fait de cet objet , un collector qui , aujourd'hui , clignote. Objet collector que la plupart de tes fans portent en tant que signe de reconnaissance."
Finalement , on a beau dire mais associer le commun des mortels à la musique qu'il écoute , surtout c'est du hard rock , à ce qu'il est , s'avère être bien restrictif surtout qu'en face , les arguments de ses détracteurs relèvent de la pauvreté la plus affligeante qui soit.

Pas mal Phil. Chouette topic.

Mais que veux-tu dire avec "élite musicale"?

Le phénomène de diabolisation est loin d'être propre au hard rock: il est commun à toute forme de rejet d'une (contre-)culture par une doctrine soi-disant orthodoxe. De grands poètes romantiques ont écrit des oeuvres qui ont été prétexte à des suicides, à des marginalisations...

Perso, ce qui me pousse au suicide, c'est plutôt Jeanne Mas ou Helène Rolles... Comme quoi...

Passe PArtout est pas mal aussi pour se balancer d'une fenêtre..

Phil a écrit:

Ce que j'entendais par "élite", c'est cette espèce de caste qui, sous couvert de se faire le porte-parole du bon goût en matière de musique, à savoir l'écoute de musiques nobles telles que le jazz, le blues mais aussi la musique classique, n'hésite en aucune matière à jeter son discrédit sur le Hard Rock qu'elle assimile souvent à un ramassis de dégénérés, brûlant, comme ce fut le cas dans les années 80 aux Etats-Unis (un cas à part, certes), des vinyles d'AC/DC en place publique. On est bien évidemment dans l'excès.
Cette élite, ceci dit, tente malgré tout d'arrondir les angles lorsque l'on s'adresse à elle, en avançant l'argument à deux balles ("Ah oui, j'écoutais ça quand j'étais jeune !!!!") mais finit toujours par esquisser un petit sourire narquois qui en dit long sur leurs coupables pensées.
Sans doute, exagérai-je un peu, cher Endo mais ce soir, j'avais envie de m'amuser un peu.

Ah ouais OK: j'avais mal lu ton message: j'avais cru que c'était le hard rock qui constituait l'élite musicale (ce qui est assez vrai étant donné le degré de technicité des musiciens hard rock - je ne parle pas de heavy metal où le talent est plus fluctuant). D'accord avec toi.

Endogarde Pourpre a écrit:

Phil a écrit:

Ce que j'entendais par "élite", c'est cette espèce de caste qui, sous couvert de se faire le porte-parole du bon goût en matière de musique, à savoir l'écoute de musiques nobles telles que le jazz, le blues mais aussi la musique classique, n'hésite en aucune matière à jeter son discrédit sur le Hard Rock qu'elle assimile souvent à un ramassis de dégénérés, brûlant, comme ce fut le cas dans les années 80 aux Etats-Unis (un cas à part, certes), des vinyles d'AC/DC en place publique. On est bien évidemment dans l'excès.
Cette élite, ceci dit, tente malgré tout d'arrondir les angles lorsque l'on s'adresse à elle, en avançant l'argument à deux balles ("Ah oui, j'écoutais ça quand j'étais jeune !!!!") mais finit toujours par esquisser un petit sourire narquois qui en dit long sur leurs coupables pensées.
Sans doute, exagérai-je un peu, cher Endo mais ce soir, j'avais envie de m'amuser un peu.

Ah ouais OK: j'avais mal lu ton message: j'avais cru que c'était le hard rock qui constituait l'élite musicale (ce qui est assez vrai étant donné le degré de technicité des musiciens hard rock - je ne parle pas de heavy metal où le talent est plus fluctuant). D'accord avec toi.

Je suis vraiment content de te relire, Endo !!!!!!!!!!

Moi aussi Phil!

Je lis toujours Life de Keith Richards qui décrit assez bien le phénomène de snobisme artistique (les tenants du blues hard core contre ceux de l'approche pop rock). J'ai toujours considéré absurde de crier au génie ou de cracher sur des morceaux en fonction de leur appartenance à un genre.

Si je prends le type de musique avec lequel j'ai le plus de mal (rap / hip hop), j'arrive quand même à y trouver des trucs que j'aime. Et si j'aime, j'achète. Du genre "Just Cruisin'" de Will Smith que j'adore, ou même du Britney Spears. Mais c'est évidemment une tout autre démarche que d'investir dans un album, voire une oeuvre complète.

Je crois aussi que le hard rock ou le prog sont des genres où l'entité que constitue l'album a beaucoup plus d'importance que les morceaux pris individuellement. Donc, c'est forcément moins commercial et plus riche. J'adore le blues parce qu'il parle des gens, de nous, des petites choses de la vie qui la rendent humaine, profonde. C'est une musique gaie qui parle de choses tristes ou dures...

Le hard rock, c'est un genre assez sophistiqué, avec une construction musicale assez rigide (intro / couplet 1 / couplet 2 / solo / couplet 3 / outro) et donc une rigueur que j'apprécie: tout est dans l'énergie, le lyrisme et ça, je "kiffe total" (pour parler djeun d'il y a 10 ans).

Finalement, en suivant ses préjugés, c'est soi-même que l'on prive de plaisir. Une chanson, elle te parle ou non.

Non seulement, elle te parle mais elle t'interpelle également dans sa structure (que tu as rappelée de fort belle manière) et sa mélodie. Après on aime ou on n'aime pas, le dernier album qui m'a interpelé, c'est celui de Battle Beast intitulé Steel qui renoue avec un passé glorieux des 80's "gentiment" mâtiné de sonorités "nightwishiennes". Le seul point faible pourrait s'avérer être la voix de la chanteuse à la limite un peu trop saturée par certains côtés. Js, Kisslolo et moi-même pourront t'en faire tout l'éloge du monde, la seule chose que tu aies à faire, c'est de prêter une oreille à cette bonne surprise de l'année 2012.
Pour ce qui concerne Life de Keith Richards, je l'ai commencé en juillet dernier (oui, je sais, je suis long ), je trouve cet ouvrage plein de sensibilité et surtout bien documenté quant aux anecdotes croustillantes que nous fournit son illustre auteur.

Phil a écrit:

Non seulement, elle te parle mais elle t'interpelle également dans sa structure (que tu as rappelée de fort belle manière) et sa mélodie. Après on aime ou on n'aime, le dernier album qui m'a interpelé, c'est celui de Battle Beast intitulé Steel qui renoue avec un passé glorieux des 80's "gentiment" mâtiné de sonorités "nightwishiennes". Le seul point faible pourrait s'avérer être la voix de la chanteuse à la limite un peu trop saturée par certains côtés. Js, Kisslolo et moi-même pourront t'en faire tout l'éloge du monde, la seule chose que tu aies à faire, c'est de prêter une oreille à cette bonne surprise de l'année 2012.

C'est le truc avec le lion qui fait très cover de BD? Je vais lui donner un petit coup d'oreille...

Endogarde Pourpre a écrit:

Phil a écrit:

Non seulement, elle te parle mais elle t'interpelle également dans sa structure (que tu as rappelée de fort belle manière) et sa mélodie. Après on aime ou on n'aime pas, le dernier album qui m'a interpelé, c'est celui de Battle Beast intitulé Steel qui renoue avec un passé glorieux des 80's "gentiment" mâtiné de sonorités "nightwishiennes". Le seul point faible pourrait s'avérer être la voix de la chanteuse à la limite un peu trop saturée par certains côtés. Js, Kisslolo et moi-même pourront t'en faire tout l'éloge du monde, la seule chose que tu aies à faire, c'est de prêter une oreille à cette bonne surprise de l'année 2012.

C'est le truc avec le lion qui fait très cover de BD? Je vais lui donner un petit coup d'oreille...

Oui, c'est ça.

Phil a écrit:

Les spandex, ça existe toujours !!!

http://www.over-zone.com/framesetuk.htm

Viens en Espagne faire des concerts... tu verras

Je m'en doute bien.

C' est vrai que l' ambiance en Espagne c' est le fuego!

http://www.directstar.fr/video/bXVxNXNp

Un article, ma foi, très intéressant :

http://www.laurentrieppi.com/2013/04/balayons-les-stereotypes-ces-metalleux-au-grand-coeur/